Etre ingénieur d'Etat demain
les « Assises de l’ingénieur » remplacent la fusion dans l’agenda ministériel
06/12/2012
2500 ingénieurs les ont réclamées dans la rue, Nathalie Kosciusko-Morizet les a esquissées dans son courrier, Delphine Batho et Cécile Duflot les mettront en oeuvre : les Assises de l’ingénieur ont été inscrites dans l’agenda social 2013 des deux ministres et affichées parmi leurs 5 priorités ! Elles ont dit prévoir d’y assister. Espérons que Stéphane Le Foll en fasse de même.
- Le besoin de reconnaissance : le projet de fusion, parmi de multiples autres signaux, a fait penser que l’Etat n’était plus demandeur des spécificités techniques des corps d’ingénieurs.
Les Assises pourront réaffirmer que l’Etat a besoin d’ingénieurs pour conduire ses politiques publiques.
- Le besoin de sens : la valse des missions et des services nous a privés de beaucoup de repères, en conséquence nos métiers ont évolué significativement mais sans perspective.
Les Assises pourront enfin donner un cadre au développement des compétences.
- Des conditions de travail adaptées aux enjeux : le développement des compétences n’est possible que sous certaines conditions (formation, attractivité, mobilité…), l’administration doit se donner les moyens de les atteindre.
Les Assises pourront fixer les objectifs.
Pour en savoir plus:
Etre ingénieur d'Etat demain, novembre 2012