Plusieurs débats étaient programmés sur le thème salaires, primes, avantages en natures : « au-delà de l’évolution de la rémunération des cadres quelles sont les pratiques RH pour attirer et fidéliser les cadres ? Comment les concilier dans un contexte de crise et d’allongement de la vie professionnelle ? »La matinée était ouverte par Jean-Marie Marx, Directeur général de l’Apec et par Eric PERES, Président de la commission études de l’Apec, Secrétaire général de la FO-Cadres. La conclusion des débats a été assurée par Pierre Lamblin, Directeur du Département Etudes et Recherches de l’Apec.
Les responsables RH des entreprises Safran, Soreal Ilou, Révillon chocolatier et Elior services ont participé aux tables rondes.
Au delà de la simple reconnaissance du travail, la question des rémunérations a été abordée sous l’angle de la fidélisation. En effet, il est indispensable de rétribuer l’engagement des cadres de façon juste et suffisamment attractive. C’est le moyen le plus efficace pour les entreprises d’avancer, d’innover et de consolider leur valeur ajoutée. Car en arrière-plan, il y a la question de la compétitivité qui est un des enjeux majeurs auxquels nous devons faire face. Les entreprises qui l’ont compris sont celles qui pourront continuer à être parties prenantes sur la scène économique dans notre pays et à l’international.
Par ailleurs, les rémunérations sont un outil stratégique incontournable parce qu’elles permettent de reconnaître la performance des salariés. Elles demeurent un des éléments fondamentaux de la motivation.
Enfin, il ne faut pas négliger non plus la question de la transparence des salaires : donner de la visibilité à ce qui permet d’attribuer les primes par exemple est fondamental.
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